À la demande générale, voici certaines de nos références dévoilées. Le Festival du Roi Arthur est l’une des plus chouettes, parce que nous avons pu laisser parler notre plume et lâcher les chevaux.

Dans cet article, vous découvrirez que nous avons :

  • humblement participé à la nouvelle ligne éditoriale du festival,
  • écrit avec nos tripes les premiers contenus qui incarnent ce renouveau,
  • et kiffé travailler avec le Festival du Roi Arthur

Le contexte : une identité à réinventer jusqu’aux bouts des mots

On ne présente plus le Festival du Roi Arthur, tant son aura a dépassé les frontières bretonnes. Depuis 15 ans, c’est LE rendez-vous de la fin de l’été, l’un des derniers festivals majeurs de Bretagne. Celui où l’on dit adieu à la douceur estivale, aux shorts et aux claquettes bananes (oui, ça existe vraiment…), pour rempiler sur une nouvelle année. Pendant 3 jours de liesse, les oreilles en ont pour leur compte, les mirettes aussi tant la scénographie est travaillée. Bref, une belle parenthèse musicale qu’on vous invite à découvrir si ce n’est pas encore fait.

À l’origine, cet évènement est né d’une idée folle entre copains, qui ont su rallier à leur cause les agriculteurs qui leur prêtent gracieusement leurs parcelles pendant les 3 jours de festivités. Les artisans du coin se joignent également à l’aventure. Au fil des années, le festival gagne en réputation, et se professionnalise. Après les remous du covid et une belle édition 2022, ses fondateurs ambitionnent de poursuivre le travail de refonte du festival.

En 2023, les planètes sont alignées, car nous croisons la route de celui qui a coécrit cette nouvelle identité avec l’AFRA (l’Association du Festival du Roi Arthur) : Gervais Duchemin, responsable décoration et chargé de la stratégie de communication du festival. Cette nouvelle identité est donc actée, entre légende arthurienne sans en faire des caisses, ancrage breton voire celtique, et fine bouche musicale. La convivialité, la magie, la découverte et l’expérience en sont les principaux piliers. Les idées sont posées, la stratégie claire, l’identité visuelle revisitée. Reste à travailler les mots, et ça n’est pas une mince affaire. Au charbon !

Notre job : mettre de l’eau au moulin éditorial

Ce qui signifie de proposer une nouvelle façon de raconter le festival. Pas simple : nous pavons la route. Notre mission est d’intervenir dans le cadre de la refonte du site web, en passant par une nouvelle ligne éditoriale, pour ensuite nous synchroniser avec les rédacteurs bénévoles de l’association qui poursuivront le travail. Inutile de vous partager ici qu’il nous a fallu mouiller la chemise — d’autant plus que nous n’avions jamais écrit pour un événement musical, ni participé au festival.

La clé : l’équipe est chouette et nous transmet tout ce que nous devons savoir. On écoute, on s’immerge, on regarde un peu ailleurs, et on construit pas à pas notre champ lexical. Les mots suivent, les textes aussi. Nous produisons un premier jet — ils aiment, #coeuraveclesdoigts. Nous continuons sur notre lancée pour peaufiner ensemble chacun des contenus. C’est simple, c’est fluide. Et ça marche. Ça marche parce qu’ils se reconnaissent dans ce que nous produisons, et parce que nous travaillons main dans la main avec ceux qui rédigent et animent les réseaux sociaux. Oh yeah.

Un exemple ? Allez on vous en donne deux (ici et ).

C’est pas nous, c’est lui : le mot du co-président Anthony Launay

« Un feeling assez naturel s’est installé dès le premier contact avec L’Œil au Carré. Marie a compris notre univers, nos ambitions, les enjeux de cette nouvelle identité. Cela s’est concrétisé par une première proposition de style, déclinée ensuite sur plusieurs pages clés de notre nouveau site. Dès le départ, nous avons pu voir en L’Œil au Carré une réactivité sans équivoque, très appréciable au vu de nos fortes contraintes en matière de timing. À l’arrivée, les pages rédigées étaient de grande qualité, et ont été très appréciées par l’équipe communication du festival qui s’est appropriée cette nouvelle ligne éditoriale. Merci encore à Marie pour son investissement et son écoute ! »